Deux jours pleins à craquer... (3)
Au Musée d'art moderne, cet après-midi: au dernier étage, avant de reprendre l'ascenseur... Un ascenseur luxissime pour 48 visiteurs fatigués.
Dans la salle de l'art conceptuel, (la plus rigolote, celle qui me donne envie de toucher à tout).
Outre un magnifique miroir qui vous embellit, en vous amincissant et allongeant la silhouette, avec peinture de soie verte qui fractionne le miroir en deux, (je me suis admirée, tiens, j'ai trouvé qu'avec mes cheveux courts, à la Frida Kahlo, mon pull violine, mon écharpe mauve blanc rosé violet... Mon pantalon gris et mes bottillons bordeaux que j'adore, j'en jetais finalement pas mal).
Mais où étaient passés mes kilos ? Mystère...
Enfin bref, il y a une oeuvre de "Carl ANDRE, 4 x 25 "Altstadt rectangle", soit 100 plaques en acier de 0,5 x 50 x 50 (1 plaque) ; (1967)" (extrait du Catalogue en ligne du Musée d'Art moderne).
(c) Carl ANDRE, Musée d'art moderne - Bruxelles.
Ce qui me faisait penser à un magnifique jeu de la marelle où je m'amusais à passer de dalle en dalle (mais pas à cloche-pied, c'eût été trop dangereux!) - (J'adorais jouer à la marelle dans la cour, quand j'étais trèèèèès jeune!)
Et je chantonnais "Le jeu de la marelle" une chanson entendue quand? Où? Pour la première fois?
En tout cas, c'était la chanson du générique d'un documentaire très "dur", que nous programmions au "Festival du cinéma des libertés", il s'agissait de... "Des marelles et des petites filles", de Marquise LEPAGE, 1999.